Un monument
La première version de Photoshop ne disposait pas de la couleur... Il s'appelait Display et fonctionnait sous Mac Plus, avant même l'Apple II. Aujourd'hui rendu à sa neuvième version, Adobe Photoshop CS2 dispose d'un matelas d'utilisateurs fidèles, professionnels comme amateurs.
Complexe à la première utilisation, il se révèle puissant et quasi sans limites après apprentissage. Photoshop a su s'imposer comme leader sur le marché du traitement d'images en inventant de nouveaux processus de création. Les filtres, les calques, les outils comme le lasso et le détourage automatique sont autant d'inventions directement issues du logiciel.
Place à plus de facilité
Chaque nouvelle version se voit attribuer de nouvelles fonctionnalités. CS2 n'en manque pas, avec un outil tout neuf permettant de gérer les points de fuite (impressionnant) mais aussi la correction automatique des yeux rouges ou Adobe Bridge, pour mieux gérer ses fichiers. L'évolution majeure de cette version est pourtant ailleurs, dans l'interface. Photoshop gagne en flexibilité en permettant à l'utilisateur de définir et créer son espace de travail personnalisé. Un gain de temps appréciable pour les professionnels.
Sans être une révolution dans l'histoire du logiciel, cette version apporte quelques modifications et nouveautés bienvenues. Toujours gourmand en RAM et espace disque, les configurations plus modestes pourront s'orienter vers la version précédente.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire